Année d'édition : 2016
Édition : Pocket
Nombre de pages : 416
Public visé : Young Adult
Quatrième de couverture : Leth Marek, champion d’arènes, se retire invaincu, au sommet de sa gloire. Il a quarante ans, une belle fortune et deux jeunes fils qu’il connaît à peine. C’est à Kyrenia, la plus grande cité du monde, qu’il choisit de les élever, loin de la violence de sa terre natale. Lorsqu’il croise la route d’un culte itinérant, une étrange religion menée par un homme qui se dit prophète, l’ancien champion ignore que son voyage va basculer dans le chaos.
À Kyrenia, où l’on adore la Grande Déesse et les puissants du Temple s’entre dévorent, une guerre ouverte éclate entre deux
cultes, réveillant les instincts les plus noirs. La hache de Leth Marek va de nouveau tremper dans le sang…
Le plus violent des combats est celui que l’on mène contre ses propres croyances.
Édition : Pocket
Nombre de pages : 416
Public visé : Young Adult
Quatrième de couverture : Leth Marek, champion d’arènes, se retire invaincu, au sommet de sa gloire. Il a quarante ans, une belle fortune et deux jeunes fils qu’il connaît à peine. C’est à Kyrenia, la plus grande cité du monde, qu’il choisit de les élever, loin de la violence de sa terre natale. Lorsqu’il croise la route d’un culte itinérant, une étrange religion menée par un homme qui se dit prophète, l’ancien champion ignore que son voyage va basculer dans le chaos.
À Kyrenia, où l’on adore la Grande Déesse et les puissants du Temple s’entre dévorent, une guerre ouverte éclate entre deux
cultes, réveillant les instincts les plus noirs. La hache de Leth Marek va de nouveau tremper dans le sang…
Le plus violent des combats est celui que l’on mène contre ses propres croyances.
La première chose que j’ai à dire c’est que j’avais été conquise
par Gabriel Katz lors de ma lecture de Maitresse de Guerre, c’était un
livre formidable retraçant l’histoire d’une jeune femme qui voulait se
faire une place dans un monde d’hommes : La guerre.
Mais du coup, je suis obligé de faire un parallèle ici, pas à cause de sa quête, mais plutôt à cause du début du roman, je pense que Gabriel Katz est un auteur qui n’aime pas ses personnages. Si si ! Si vous avez lu plusieurs de ses romans, vous vous serez rendu compte qu’il aime leur faire du mal, au tout début de ses histoires, pour qu’on ait bien l’impression que leur vie est terminée. L’héroïne de Maitresse de Guerre, lors d’une bataille au tout début du roman, perd la totalité de son escouade et se fait enlever par le camp adverse pour être vendu sur le marché des esclaves. Sympa non ? Ici, rien de grave ! Le héros perd sa famille, ses enfants et tous ses serviteurs qu’ils aiment comme une famille, sont massacrés, mais vraiment, genre bouilli informe. Irrécupérable.
Et ce n’est pas comme si par la suite, leur vie devenait belle, hein ? Ils vont vraiment en prendre plein la tronche, si vous me permettez l’expression !
J’ai donc retrouvé avec plaisir la plume entraînante de Gabriel Katz pour suivre l’histoire de Leth Marek, un ancien « gladiateur » qui a pris sa retraite pour rejoindre une belle ville afin d’élever ses fils loin de la violence mais qui n’arrivera jamais à destination. Il sera recueilli par le culte d’Ochin, un dieu peu apprécié mais qui semble plus égalitaire que la grande Déesse que tout le monde vénère. Il va devenir leur garde du corps et s’attacher petit à petit à eux, même à cet abominable mercenaire, Desmond. Il va devoir se battre pour eux, retourner dans le sang qu’il avait quitté, pour vaincre le culte de la grande déesse qui cherche leur perte.
Je vais commencer par un point qui m’a vraiment dérange : On suit une multitude de personnages ! Mais vraiment beaucoup. Alors oui, c’est informatif, aucun des passages n’est inutile et chacun nous permet d’avancer dans l’histoire. Mais cet incessant va et vient de chapitre en chapitre d’un personnage à l’autre (ils sont quoi, 8 ?), ça m’a légèrement donné le mal de mer.
Pour les personnages, j’avoue ne pas avoir eu de coup de cœur pour Leth, son côté bourru était plaisant mais a fini par me lassé un peu. Surtout à cause de Nessyra. Par contre, j’ai adoré Desmond, ce mercenaire a un humour et un mordant que vous ne pouvez nier et qui vous donnera toujours envie de le lire et d’en connaître plus sur lui ! Au niveau des prêtres, j’avoue avoir un petit faible pour Varian qui essaye tant bien que mal de s’en sortir malgré toutes les bassesses que lui font subir le culte de la Grande Déesse.
Le point que j’ai adoré, ce sont les scènes sanglantes, je dois vous dire qu’on assiste à bon nombre de crime et de massacre durant ce premier tome et, honnêtement, elles sont superbes. C’est sanguinolant à souhait, barbare on ne peut plus, plus d’une tête volera, mais vous en redemanderez parce que c’est tellement bien écrit qu’on ne peut que dévorer les pages.
De plus le rythme du roman est vraiment top, les chapitres sont très courts et malgré le passage d’un personnage à l’autre, on arrive très rapidement aux informations importantes, à ce qui nous est utile et ce qu’on attend ! On ne cesse de tourner les pages pour en savoir plus sur la situation qui nous a tenue en haleine, pour être tenu en haleine par une autre situation au chapitre suivant, et ça à chaque chapitre. L’atmosphère est très particulière et il est difficile de la quitte.
En bref, c’est un autre bon roman signé Gabriel Katz dont il me tarde de lire la suite (surtout avec cette fin, Ô mon dieu cette fin *_*) ! J’ai adoré les combats sanglants et les personnages de Desmond et Varian, l’histoire n’a aucun temps mort, on dévore les pages sans pouvoir s’arrêter et on est totalement happé par l’ambiance bien particulière que l’auteur a su former. D’ailleurs, même si on commence par détester Katz et sa manie de torturer ses personnages, on finit par en demander plus, alors je ne peux que vous conseiller de commencer ! Un coup de coeur, quoi, tout simplement !
Je remercie le forum Mort Sûre et les éditions Pocket pour leur confiance et ce petit bijou.
Mais du coup, je suis obligé de faire un parallèle ici, pas à cause de sa quête, mais plutôt à cause du début du roman, je pense que Gabriel Katz est un auteur qui n’aime pas ses personnages. Si si ! Si vous avez lu plusieurs de ses romans, vous vous serez rendu compte qu’il aime leur faire du mal, au tout début de ses histoires, pour qu’on ait bien l’impression que leur vie est terminée. L’héroïne de Maitresse de Guerre, lors d’une bataille au tout début du roman, perd la totalité de son escouade et se fait enlever par le camp adverse pour être vendu sur le marché des esclaves. Sympa non ? Ici, rien de grave ! Le héros perd sa famille, ses enfants et tous ses serviteurs qu’ils aiment comme une famille, sont massacrés, mais vraiment, genre bouilli informe. Irrécupérable.
Et ce n’est pas comme si par la suite, leur vie devenait belle, hein ? Ils vont vraiment en prendre plein la tronche, si vous me permettez l’expression !
J’ai donc retrouvé avec plaisir la plume entraînante de Gabriel Katz pour suivre l’histoire de Leth Marek, un ancien « gladiateur » qui a pris sa retraite pour rejoindre une belle ville afin d’élever ses fils loin de la violence mais qui n’arrivera jamais à destination. Il sera recueilli par le culte d’Ochin, un dieu peu apprécié mais qui semble plus égalitaire que la grande Déesse que tout le monde vénère. Il va devenir leur garde du corps et s’attacher petit à petit à eux, même à cet abominable mercenaire, Desmond. Il va devoir se battre pour eux, retourner dans le sang qu’il avait quitté, pour vaincre le culte de la grande déesse qui cherche leur perte.
Je vais commencer par un point qui m’a vraiment dérange : On suit une multitude de personnages ! Mais vraiment beaucoup. Alors oui, c’est informatif, aucun des passages n’est inutile et chacun nous permet d’avancer dans l’histoire. Mais cet incessant va et vient de chapitre en chapitre d’un personnage à l’autre (ils sont quoi, 8 ?), ça m’a légèrement donné le mal de mer.
Pour les personnages, j’avoue ne pas avoir eu de coup de cœur pour Leth, son côté bourru était plaisant mais a fini par me lassé un peu. Surtout à cause de Nessyra. Par contre, j’ai adoré Desmond, ce mercenaire a un humour et un mordant que vous ne pouvez nier et qui vous donnera toujours envie de le lire et d’en connaître plus sur lui ! Au niveau des prêtres, j’avoue avoir un petit faible pour Varian qui essaye tant bien que mal de s’en sortir malgré toutes les bassesses que lui font subir le culte de la Grande Déesse.
Le point que j’ai adoré, ce sont les scènes sanglantes, je dois vous dire qu’on assiste à bon nombre de crime et de massacre durant ce premier tome et, honnêtement, elles sont superbes. C’est sanguinolant à souhait, barbare on ne peut plus, plus d’une tête volera, mais vous en redemanderez parce que c’est tellement bien écrit qu’on ne peut que dévorer les pages.
De plus le rythme du roman est vraiment top, les chapitres sont très courts et malgré le passage d’un personnage à l’autre, on arrive très rapidement aux informations importantes, à ce qui nous est utile et ce qu’on attend ! On ne cesse de tourner les pages pour en savoir plus sur la situation qui nous a tenue en haleine, pour être tenu en haleine par une autre situation au chapitre suivant, et ça à chaque chapitre. L’atmosphère est très particulière et il est difficile de la quitte.
En bref, c’est un autre bon roman signé Gabriel Katz dont il me tarde de lire la suite (surtout avec cette fin, Ô mon dieu cette fin *_*) ! J’ai adoré les combats sanglants et les personnages de Desmond et Varian, l’histoire n’a aucun temps mort, on dévore les pages sans pouvoir s’arrêter et on est totalement happé par l’ambiance bien particulière que l’auteur a su former. D’ailleurs, même si on commence par détester Katz et sa manie de torturer ses personnages, on finit par en demander plus, alors je ne peux que vous conseiller de commencer ! Un coup de coeur, quoi, tout simplement !
Je remercie le forum Mort Sûre et les éditions Pocket pour leur confiance et ce petit bijou.
Chronique de Ferilou
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