Année d'édition : 2016
Edition : City Editions
Nombre de pages : 208
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture : Bibliothécaire un peu farfelue, Bérangère s’apprête à participer à Buzz, le jeu télévisé le plus regardé de France. Sa mère Marie-Belle, qui tient un salon de coiffure, ne peut contenir son excitation à l’idée de voir sa fille empocher les cinq millions d’euros mis en jeu. Avec cette somme, toutes les deux pourraient réaliser les choses qu’elles ont inscrites au fil des ans dans leur « carnet de désirs »... Seulement voilà, dans la vie, rien ne se passe jamais comme prévu. Surtout quand une galerie de personnages et des péripéties toutes plus folles les unes que les autres s’enchaînent et se déchaînent. D’autant qu’un mystérieux inconnu fait planer une ombre menaçante sur les participants au jeu. Une chose est certaine : des secrets seront révélés et des vies totalement chamboulées… De quoi faire un sacré Buzz !
Edition : City Editions
Nombre de pages : 208
Public visé : Adulte
Quatrième de couverture : Bibliothécaire un peu farfelue, Bérangère s’apprête à participer à Buzz, le jeu télévisé le plus regardé de France. Sa mère Marie-Belle, qui tient un salon de coiffure, ne peut contenir son excitation à l’idée de voir sa fille empocher les cinq millions d’euros mis en jeu. Avec cette somme, toutes les deux pourraient réaliser les choses qu’elles ont inscrites au fil des ans dans leur « carnet de désirs »... Seulement voilà, dans la vie, rien ne se passe jamais comme prévu. Surtout quand une galerie de personnages et des péripéties toutes plus folles les unes que les autres s’enchaînent et se déchaînent. D’autant qu’un mystérieux inconnu fait planer une ombre menaçante sur les participants au jeu. Une chose est certaine : des secrets seront révélés et des vies totalement chamboulées… De quoi faire un sacré Buzz !
Pour être honnête, c’est tout d’abord le métier de bibliothécaire de
Bérangère qui m’a attiré à la lecture du résumé, tout autant que le fait
que le roman semblait drôle et plein de bonne humeur. Pourtant, les
premiers chapitres ont réussi à me perdre suite au nombre de personnages
présentés. Malgré la petite taille des chapitres qui permettent une
lecture très fluide et malgré le fait que les personnages finiront par
se rejoindre par la suite, ils sont pour moi trop nombreux au début pour
que je réussisse à tous les remettre à leur place directement.
S’ils sont tous assez intéressants, j’ai regretté qu’ils ne soient pas plus poussés car on en sait finalement juste assez sur eux pour les comprendre et comprendre leur parcours. Mais pas assez pour les aimer (si ce n’est K ou Emma à qui il est plus facile de s’attacher). La majorité d’entre eux sont bourrés de clichés qui, si le ton du roman avait été très léger, m’aurait sûrement fait rire mais qui ne colle pas vraiment à l’intrigue du livre qui n’est, finalement, pas si légère.
Car les problèmes abordés sont sérieux : la famille, le rapport aux autres, la vengeance, l’amour, le harcèlement sexuel, l’abandon, l’homosexualité… De nombreux sujets qui passent rapidement, à la manière des personnages, sur lesquels on ne s’attarde que le temps de leur adjoindre un cliché ou un autre avant de passer à autre chose.
La coiffeuse aime les ragots, la bibliothécaire est intelligente mais seule, le gars du show bizz est un gros dégueulasse, l’aristocrate est une pète-sec… Des clichés qui auraient vraiment pu être drôles si j’avais réussi à entrer dans le roman mais ce qui n’a malheureusement pas été le cas.
Si l’intrigue et les péripéties sont décalées, le ton est resté pour moi trop formel, avec une succession d’actions qui s’imbriquent entre elle comme un jeu de dominos dont on ferait tomber le premier, entraînant ainsi les autres. Mais je n’ai pas rit comme je m’y attendais puisque, si les personnages sont clichés, les sujets méritaient des réflexions sérieuses.
En bref un roman auquel je n’ai pas accroché malgré ses péripéties et ses personnages attachants, qui manquait selon moi un peu de profondeur. Dommage.
Merci à Louve du forum Mort-Sûre et aux éditions City pour ce roman
S’ils sont tous assez intéressants, j’ai regretté qu’ils ne soient pas plus poussés car on en sait finalement juste assez sur eux pour les comprendre et comprendre leur parcours. Mais pas assez pour les aimer (si ce n’est K ou Emma à qui il est plus facile de s’attacher). La majorité d’entre eux sont bourrés de clichés qui, si le ton du roman avait été très léger, m’aurait sûrement fait rire mais qui ne colle pas vraiment à l’intrigue du livre qui n’est, finalement, pas si légère.
Car les problèmes abordés sont sérieux : la famille, le rapport aux autres, la vengeance, l’amour, le harcèlement sexuel, l’abandon, l’homosexualité… De nombreux sujets qui passent rapidement, à la manière des personnages, sur lesquels on ne s’attarde que le temps de leur adjoindre un cliché ou un autre avant de passer à autre chose.
La coiffeuse aime les ragots, la bibliothécaire est intelligente mais seule, le gars du show bizz est un gros dégueulasse, l’aristocrate est une pète-sec… Des clichés qui auraient vraiment pu être drôles si j’avais réussi à entrer dans le roman mais ce qui n’a malheureusement pas été le cas.
Si l’intrigue et les péripéties sont décalées, le ton est resté pour moi trop formel, avec une succession d’actions qui s’imbriquent entre elle comme un jeu de dominos dont on ferait tomber le premier, entraînant ainsi les autres. Mais je n’ai pas rit comme je m’y attendais puisque, si les personnages sont clichés, les sujets méritaient des réflexions sérieuses.
En bref un roman auquel je n’ai pas accroché malgré ses péripéties et ses personnages attachants, qui manquait selon moi un peu de profondeur. Dommage.
Merci à Louve du forum Mort-Sûre et aux éditions City pour ce roman
Chronique de Rinne
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