Editions : Mnémos
Nombre de pages : 352 pages
Quatrième de couverture:
« Une légende raconte que le bâton d’or de Bochica a été perdu.
Il ne pourra être retrouvé que par celui qui aura pardonné aux envahisseurs.
Alors seulement le royaume des Muiscas pourra renaître.»
Enfant adopté, Simon ne s'est jamais senti concerné par la Colombie, son pays natal. Pourtant, à vingt-cinq ans, il éprouve le besoin de se confronter à cette part à la fois intime et inconnue de son identité. Loin des sentiers touristiques, il découvre à Bogotá une société aux mille visages, héritière d'une violence dont l'origine, dit-on, remonte aux premiers Conquistadores. Renouant avec ses racines indiennes, Simon participe à une cérémonie religieuse qui le projette dans les spirales du temps, en 1537.
Au moment où, sur les traces de Cortés et Pizarro, les troupes de Quesada posent le pied sur l'Altiplano, la terre des Indiens muiscas. Une époque sombre et brutale où il est encore possible de changer le cours de l'Histoire, et peut-être la face du monde...
Je tiens à remercier le forum Mort-Sûre ainsi que les Éditions Mnémos pour m'avoir permis de lire
cette magnifique uchronie d'Eric Holstein!
Dans le première partie, nous rencontrons Simon, un jeune homme originaire de la Colombie.
Il a vécu sa vie en France et n'a donc jamais ressenti une appartenance à son pays natal.
Un jour, il décide de découvrir le pays qui l'a vu naître et du même coup il nous transporte dans une Colombie méconnue de tous. Nous nous promenons plus particulièrement Bogota mais sur un tout autre angle que celui que j'avais imaginé. J'avais encore l'image de Bogota du point de vue touristique mais nous découvrons ici une tout autre société. Un société vestige d'une violence vieille de plusieurs siècles. Avec Simon, nous découvrons peu à peu la Colombie. Les traditions et le mode de vie des gens de là-bas.
Puis viens la deuxième partie qui ramène au 14ième siècle, vers 1537. Nous suivons les troupes espagnoles qui ont colonisé cette partie du Nouveau Monde. Nous entrons plus intimement dans les pensées du général Quesada. Je me suis attaché à ce personnage à la fois sympathique et imprévisible.
Nous le suivons alors que lui tout comme Simon dans la première partie découvre les moeurs de ce peuple inconnu. Peu à peu il apprendra la vie de ces gens il sera confronté à l'un des plus grand souverain de ce temps : Sugansua. Ce dernier est le personnage que j'ai le plus apprécié malgré que dans cette deuxième partie nous le connaissons que très peu...
Nous "assisterons" à des batailles historiques qui tuerons des milliers d'hommes.
La relation que Quesada et Sugansua auront ensemble restera un mystère pour moi. Je ne sais pas exactement comme la qualifiée.
Ce qui nous amène à la troisième et dernière partie du roman qui nous transporte à notre époque.
Nous entrons dans le quotidien de Benino, un professeur d'université. Avec lui nous apprendrons de plus en plus sur l'histoire qui nous avait été racontée dans la deuxième partie. Nous retrouverons nos protagonistes du début et avec eux nous nous plongerons encore plus dans les traditions muiscas.
Je me suis sentie à l'aise avec le style d'écriture de l'auteur. Je pense que tout les passages étaient utiles et surtout enrichissant! Eric Holstien manie les mots avec aisance et tout au long nous savons qu'il a un but précis même si parfois c'est un peu imprécis...Je n'ai trouvé qu'un seul défaut assez majeur selon moi. Ce sont les termes étrangers qui ne sont expliqués nulle part. Des dizaines de termes qui me sont resté inconnus dont je n'ai toujours pas trouvé la signification. Il y a bien un petit lexique à la fin mais il est bien petit pour tout les mots étrangers qu'il peut y avoir dans le livre.
Il y a même parfois des dialogues qui sont resté imcompris. Je suis arrivé à saisir le sens général des phrases puisque certains mots ressemblaient au français.
Cependant, ce n'est pas ce détail qui m'a empêché d'apprécié jusqu'à la dernière ligne ce livre.
C'était le premier roman que je lisais de cet auteur et je crois que je vais lire son autre roman dans les prochains mois. Encore une fois merci au forum Mort-Sûre et les Éditions Mnémos pour ce partenariat plus qu'enrichissant!
Dans le première partie, nous rencontrons Simon, un jeune homme originaire de la Colombie.
Il a vécu sa vie en France et n'a donc jamais ressenti une appartenance à son pays natal.
Un jour, il décide de découvrir le pays qui l'a vu naître et du même coup il nous transporte dans une Colombie méconnue de tous. Nous nous promenons plus particulièrement Bogota mais sur un tout autre angle que celui que j'avais imaginé. J'avais encore l'image de Bogota du point de vue touristique mais nous découvrons ici une tout autre société. Un société vestige d'une violence vieille de plusieurs siècles. Avec Simon, nous découvrons peu à peu la Colombie. Les traditions et le mode de vie des gens de là-bas.
Puis viens la deuxième partie qui ramène au 14ième siècle, vers 1537. Nous suivons les troupes espagnoles qui ont colonisé cette partie du Nouveau Monde. Nous entrons plus intimement dans les pensées du général Quesada. Je me suis attaché à ce personnage à la fois sympathique et imprévisible.
Nous le suivons alors que lui tout comme Simon dans la première partie découvre les moeurs de ce peuple inconnu. Peu à peu il apprendra la vie de ces gens il sera confronté à l'un des plus grand souverain de ce temps : Sugansua. Ce dernier est le personnage que j'ai le plus apprécié malgré que dans cette deuxième partie nous le connaissons que très peu...
Nous "assisterons" à des batailles historiques qui tuerons des milliers d'hommes.
La relation que Quesada et Sugansua auront ensemble restera un mystère pour moi. Je ne sais pas exactement comme la qualifiée.
Ce qui nous amène à la troisième et dernière partie du roman qui nous transporte à notre époque.
Nous entrons dans le quotidien de Benino, un professeur d'université. Avec lui nous apprendrons de plus en plus sur l'histoire qui nous avait été racontée dans la deuxième partie. Nous retrouverons nos protagonistes du début et avec eux nous nous plongerons encore plus dans les traditions muiscas.
Je me suis sentie à l'aise avec le style d'écriture de l'auteur. Je pense que tout les passages étaient utiles et surtout enrichissant! Eric Holstien manie les mots avec aisance et tout au long nous savons qu'il a un but précis même si parfois c'est un peu imprécis...Je n'ai trouvé qu'un seul défaut assez majeur selon moi. Ce sont les termes étrangers qui ne sont expliqués nulle part. Des dizaines de termes qui me sont resté inconnus dont je n'ai toujours pas trouvé la signification. Il y a bien un petit lexique à la fin mais il est bien petit pour tout les mots étrangers qu'il peut y avoir dans le livre.
Il y a même parfois des dialogues qui sont resté imcompris. Je suis arrivé à saisir le sens général des phrases puisque certains mots ressemblaient au français.
Cependant, ce n'est pas ce détail qui m'a empêché d'apprécié jusqu'à la dernière ligne ce livre.
C'était le premier roman que je lisais de cet auteur et je crois que je vais lire son autre roman dans les prochains mois. Encore une fois merci au forum Mort-Sûre et les Éditions Mnémos pour ce partenariat plus qu'enrichissant!
Chronique de Lady Swan
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