mercredi 4 janvier 2017

Jeunesse éternelle de Nathalie Le Gendre

Année d'édition : 2016
Edition : Bayard
Nombre de pages : 237
Public visé :  Young Adult
Quatrième de couverture :
Léna, 16 ans, est atteinte d’une forme d’amnésie. Elle passe quelques journées dans un centre spécialisé, le Centre des Aigles Bleus.
Tous les dimanches, Étaine vient lui rendre visite chez Mary. On ignore quelle relation lie Léna à Étaine, mais il y a une grande tendresse entre les deux femmes.
Un jour, Étaine annonce à Léna qu’elles ne se verront plus pendant une longue période. En partant, elle remet à la jeune fille un manuscrit de sa soeur, qui était elle aussi atteinte d’amnésie.
Dès lors, Léna se plonge dans la lecture de la vie de Shanel.

À quarante ans, Shanel, cette femme énergique est en pleine remise en question : son mariage a été un échec, les romans dont elle est l’auteure n’ont pas rencontré le succès...
Un jour, elle décide de participer à un programme scientifique top secret, « Jeunesse Éternelle » dont l’objectif est d’éradiquer la dégénérescence des cellules.
Il s’agit d’une expérience très lucrative qui pourrait aider Shanel à s’en sortir. Mais au fur et à mesure que son corps rajeunit, Shanel se perd…
Est-ce la contrepartie de la jeunesse éternelle ?



On fait connaissance avec Léna, qui est atteinte d'une maladie qui affecte sa mémoire et se trouve dans un centre spécialisé.
Une jeune femme Etaine lui confie le journal de sa sœur Shanel afin de l'aider dans sa maladie.
Le récit est alterné entre Léna et sa vie dans ce centre et l'histoire de Shanel qui va participer à un programme expérimental de jeunesse.

On est captivé par Lena qui est perdue et qui chaque jour se bat pour se rappeler quelque chose; son nom, où elle se trouve, qui vient la voir. Elle traîne avec elle un carnet où elle note tout ce qu'elle peut afin de ne pas perdre pied, et vivre malgré ce lourd handicap, et ses effets secondaires.

Le roman est court, 236 pages, et se lit tout seul. Ça reste assez simple et il n'y a pas de prise de tête. On passe un bon moment et bien qu'on devine aisément une partie de la fin, une surprise nous attend !

Chronique de Distact

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